Anne, une lesbienne exhibitionniste

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il y a 3 ans
J'ai vite compris que si je voulais la contenter, et donc la garder, il me fallait exploiter ses vices et ses penchants.

Au début c'était seulement pour lui faire plaisir que je l'embrassais et la caressais en public. Ça l'excitait beaucoup et quand nous rentrions, ou dès que nous étions seules, elle jouissait très fort. Elle était quelquefois si pressée qu'elle me demandait de la branler dans la voiture ou dans l'ascenseur que je bloquais entre deux étages.

Quand nous faisons l'amour chez nous, à cause du vis-à-vis, les rideaux ne sont jamais tirés. Valérie s'allonge face à la fenêtre, écarte généreusement les cuisses, et me demande de la branler ou de la sucer. Récemment je me suis rendu compte qu'un type nous mâtait au deuxième étage. Ce devait être un étudiant car il était jeune et très souvent chez lui. Je ne sais pas quelles études il prépare, mais côté anatomie féminine, il doit connaître son programme sur le bout des doigts. Car je me suis aperçue que ce salaud se branlait en nous regardant. Et ce jour-là mon plaisir a été si ravageur, que j'ai compris que j'étais moi aussi une exhibitionniste. Et que ce qui m'excitait vraiment, c'était de baiser devant des mecs qui se branlaient. Pourtant j'ai vraiment pas envie qu'ils me touchent ou viennent nous rejoindre.

J'en ai évidemment parlé à Valérie. On se dit tout. Le lendemain elle a acheté une paire de jumelles qu'elle a fait livrer à notre voyeur. De chez nous on surveillait l'arrivée du livreur. Pour une fois on avait tiré les rideaux. Quand on a été certaines que notre petit cadeau était bien en sa possession, c'est moi qui me suis allongée sur le lit, face à la fenêtre. Valérie s'est attaché notre godemichet double. C'est une fantaisie que nous aimons beaucoup. Après avoir sucé Valérie pour la faire mouiller, elle s'enfonce une des deux bites artificielles. Elle fixe et boucle les lanières autour des hanches et des cuisses. Elle s'est mise juste au coin de la fenêtre et j'ai ouvert les rideaux.

D'où il était, notre voyeur ne pouvait voir que cette queue qui dépassait. Comme avec son gland, sa texture et sa couleur elle imite parfaitement celle d'un homme, il y avait de quoi le mystifier. Je me suis agenouillée et j'ai sucé le gode. Le gland d'abord puis toute la tige. J'imaginais la tronche que devait faire l'autre derrière ses jumelles. La situation et la scène m'excitaient beaucoup. Régulièrement je passais mes doigts dans ma fente pour recueillir ma mouille et en badigeonner la tige. Le mélange du jus et de la salive est un grand aphrodisiaque. J'ai fini par ne plus tenir et je suis allée m'allonger sur le lit. Cuisses largement écartées pour que mon voyeur n'ignore rien des plus petits replis de ma chatte.

Valérie est venue me rejoindre.. Ses vrais cheveux étaient dissimulés sous une perruque qui ressemblait à s'y méprendre à la coupe et à la chevelure de celui qui nous observait. J'imaginais sa réaction quand, un quart de seconde, il a eu l'illusion d'être à la fois chez lui et dans notre chambre. Valérie m'a pénétrée. Vraiment comme un homme. Sous ses coups de reins je criais et je me tortillais. J'étais trop excitée pour lutter contre l'orgasme qui montait en moi comme un ras de marée. Je me suis laissée emporter et, tout en jouissant, j'ai imaginé que sa queue, entre ses doigts, giclait sa semence. C'était si fantastique que j'ai noué mes jambes autour des hanches de Valérie qui venait aussi de jouir, et je lui ai demandé de me baiser longuement.

Vous voyez qu'avec elle la vie et le plaisir sont loin de tomber dans la monotonie.

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